EN BREF
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Dans le paysage de l’innovation technologique, un leader du secteur nucléaire français se démarque en révolutionnant les méthodes de production grâce à un processus de fabrication additive novateur. Cette technologie de pointe transforme la manière dont les pièces essentielles sont créées pour les réacteurs, introduisant une précision et une efficacité accrues. En collaboration avec des partenaires comme Framatome et des universités européennes de renom, cette approche permet non seulement d’optimiser la production, mais aussi de renforcer la durabilité et la sécurité des installations nucléaires. Ce changement de paradigme propulse le secteur français à l’avant-garde de l’industrie mondiale. En savoir plus sur la personnalisation écoresponsable dans l’impression 3D ici.
La filière nucléaire française renouvelle son engagement envers l’innovation avec l’adoption de la fabrication additive. Cette technologie transforme la manière dont certaines pièces essentielles des réacteurs nucléaires sont fabriquées, offrant ainsi une réponse aux défis techniques et environnementaux actuels. Focus sur l’expertise française qui porte cette révolution industrielle à travers de nouveaux procédés de production.
Framatome : Un précurseur de l’innovation avec la fabrication additive
Framatome, en partenariat avec l’Université Technique de Munich (TUM), a effectivement introduit une innovation majeure en lançant l’industrialisation du premier combustible nucléaire monolithique à haute densité d’uranium-molybdène en Europe. Cette avancée permet non seulement d’améliorer la densité énergétique des combustibles, mais aussi de rendre leur production plus efficace grâce à la fabrication additive. Cette technologie, basée sur l’ajout de matière couche par couche, permet une personnalisation et une précision sans précédents dans la production de pièces nucléaires.
Les réacteurs nucléaires innovants du futur
La start-up française Naarea, reconnue pour ses réacteurs nucléaires de petite taille, développe une technologie de réacteurs basée sur les sels fondus. Ces microréacteurs de 40 MW visent à transformer les déchets nucléaires en une source d’énergie renouvelable, favorisant ainsi une économie circulaire et durable. XAMR, le modèle phare, promet de révolutionner le domaine de l’énergie.
L’intégration de la fabrication additive par EDF et ses enjeux
Chez EDF, l’intégration de la fabrication additive fait partie intégrante de la stratégie de modernisation de ses moyens de production. Ce processus permet de répondre à des défis spécifiques des réacteurs en s’appuyant sur la flexibilité et la réactivité de la FA pour fabriquer des composants critiques. Cette initiative est soutenue par une R&D dynamique qui exploite le potentiel des laboratoires dédiés comme en témoigne EDF.
Le rôle de la fabrication additive dans la R&D nucléaire française
La fabrication additive joue un rôle clé dans le développement des technologies nucléaires de demain. En ouvrant de nouvelles perspectives d’innovation, elle permet aux chercheurs et ingénieurs d’explorer des combinaisons de matériaux jusque-là inaccessibles. Le programme nucléaire innovant en France, soutenu par des appels à projets tels que le plan d’investissement France 2030, confirme l’importance de cette approche pour le développement durable du secteur.
Implication des start-ups et partenariats stratégiques
Les start-ups telles que Thorizon et Naarea mènent la danse en termes d’innovation avec des concepts de mini-réacteurs sûrs et résistants à la corrosion. Elles bénéficient également de partenariats stratégiques avec des acteurs industriels comme Phoenix Manufacture, spécialisée dans la production de pièces de microréacteurs utilisant la fabrication additive. Cette synergie permet d’accélérer l’industrialisation et de surmonter les contraintes liées à la production.
L’importance de l’impression 3D dans le cheminement vers une énergie écoresponsable
Le recours à l’impression 3D offre de nouvelles solutions pour la production de pièces sur mesure, assurant une meilleure gestion des ressources et une réduction de l’empreinte carbone. Des initiatives telles que celles décrites dans le résumé des avancées de la semaine en impression 3D démontrent l’impact potentiel de cette technologie dans divers secteurs industriels, y compris le nucléaire.
Technologie de Fabrication Additive | Évolution du Secteur Nucléaire | |
---|---|---|
Matériau Utilisé | Poudres métalliques | Optimisation des ressources |
Processus | Ajout couche par couche | Précision accrue dans la production |
Application | Composants de réacteurs | Réduction des coûts de production |
Partenariats | Naarea et Phoenix Manufacture | Collaboration innovante |
Impact écologique | Production durable | Réduction de l’empreinte carbone |
Innovation | Utilisation de sels fondus | Nouveaux horizons énergétiques |
Compétitivité | Avance technologique | Leadership mondial renforcé |
Sécurité | Résistance accrue à la corrosion | Sécurité améliorée |
Production | Combinée électricité et hydrogène | Innovation multifonctionnelle |
Soutien gouvernemental | Plan d’investissement France 2030 | Encouragement de la R&D |
Révolution Technologique dans le Secteur Nucléaire Français
Un acteur majeur français du secteur nucléaire transforme l’industrie avec un ambitieux processus de fabrication additive. Ce procédé, qui consiste à ajouter des matériaux couche par couche, permet de créer des pièces métalliques avec une précision inégalée, réduisant ainsi le coût et l’impact environnemental de la production nucléaire. Grâce à cette technologie, des réacteurs de nouvelle génération, tels que les micro-réacteurs basés sur des sels fondus, voient le jour, promettant une énergie plus propre et efficace.
L’Impact de la Fabrication Additive dans le Nucléaire
La fabrication additive est en passe de redéfinir les standards de l’industrie nucléaire. Contrairement aux méthodes traditionnelles, elle permet de construire des pièces extrêmement complexes sans les limitations des techniques de moulage conventionnelles. Cette technologie est portée par l’UTO de la Direction de la Production Nucléaire (DPN) d’EDF, sous la direction de Cédric Pokor. Spécialiste des fabrications innovantes, il joue un rôle crucial dans l’intégration de la fabrication additive au sein des centres nucléaires de production d’électricité.
Des Innovations Remarquables pour la Production Électrique
L’utilisation de la fabrication additive dans le nucléaire favorise la fermeture du cycle du combustible, une avancée majeure en matière d’efficacité et de durabilité. Parallèlement, elle permet le développement de réacteurs comme celui de la société Naarea, qui, en collaboration avec Phoenix Manufacture, s’efforce d’industrialiser des micro-réacteurs XAMR. Ces petits réacteurs sont conçus pour transformer les déchets nucléaires en énergie, un atout majeur pour promouvoir une économie circulaire durable.
Les Micro-réacteurs : Un Avenir Prometteur
Dans le paysage énergétique français, les micro-réacteurs de 40 MW basés sur des sels fondus se présentent comme une solution viable pour répondre aux besoins énergétiques croissants. Ces réacteurs compacts ne sont pas seulement plus efficaces, mais aussi plus sûrs, grâce à des innovations telles que les cartouches à sels fondus développées par la start-up Thorizon. Résistants à la corrosion, ces réacteurs assurent une production continue, minimisant le risque de fuite et maximisant la sécurité.
Combustible Nucléaire de Nouvelle Génération
L’innovation ne s’arrête pas là. Framatome, en partenariat avec l’Université Technique de Munich (TUM), a marqué un jalon avec l’introduction du premier combustible nucléaire monolithique d’uranium-molybdène (U-Mo) en Europe, destiné aux réacteurs de recherche. Cette avancée signifie que les réacteurs pourront fonctionner à des niveaux de performance plus élevés tout en réduisant les déchets produits.
Une Révolution industrielle grâce à la Fabrication Additive
L’intégration de la fabrication additive ne se limite pas à la France. Elle est une réponse mondiale aux défis de l’énergie nucléaire, développée en partenariat avec des acteurs internationaux. Selon un leader du nucléaire français, cette technologie soutient non seulement la performance énergétique, mais elle permet aussi d’atteindre des standards élevés de sécurité et de durabilité.
L’Avenir du Nucléaire Français et Mondial
Alors que la R&D française continue de progresser, encouragée par les six nouveaux lauréats du dispositif “Réacteurs Nucléaires Innovants”, l’avenir de l’énergie nucléaire semble prometteur. Les nouvelles technologies, poussées par la fabrication additive, ouvrent la voie à des solutions énergétiques plus durables et écologiquement responsables. En explorant les possibilités offertes par l’impression 3D, comme l’implantation d’un expert en impression 3D à Saint-Laurent, la France continue de placer la barre haute, assurant un leadership technologique sur la scène mondiale.
Le secteur nucléaire français est en pleine mutation grâce à des technologies innovantes. Un pionnier du nucléaire, en partenariat avec divers acteurs du secteur, a su mettre en place un processus de fabrication additive pour apporter des solutions créatives et durables. Cet article mettra en lumière les avantages et les inconvénients de cette technologie révolutionnaire, ainsi que ses impacts sur l’industrie nucléaire.
La fabrication additive, ou impression 3D, est synonyme d’innovation dans l’industrie nucléaire. Ce processus consiste à créer un objet en ajoutant des couches de matériau, ce qui offre une grande flexibilité de conception. En intégrant cette technologie au parc nucléaire, un leader français ambitionne de repenser la production, la maintenance et les performances énergétiques des réacteurs.
Avantages
La fabrication additive offre de nombreux avantages. En premier lieu, elle permet une réduction significative des déchets, contribuant ainsi à une production plus respectueuse de l’environnement. Grâce à la capacité de produire des pièces sur mesure, cette technologie permet une maintenance plus rapide et des économies substantielles, améliorant l’efficacité opérationnelle des réacteurs.
De plus, elle propose une flexibilité inédite en termes de conception, permettant de créer des pièces aux formes complexes qui étaient impossibles à réaliser avec les méthodes conventionnelles. Cette innovation ne s’arrête pas là. Le processus participe également à l’optimisation du cycle de vie des composants, améliorant ainsi la durabilité des installations.
Inconvénients
Malgré ses nombreux bénéfices, la fabrication additive présente aussi des défis. Tout d’abord, la complexité technique de la mise en œuvre de cette technologie impose un investissement important en formation des personnels spécialisés et en équipements adaptés. Cela peut représenter un obstacle pour certaines entreprises du secteur.
Par ailleurs, le réglage précis des machines et le temps nécessaire pour concevoir des pièces par couche successives peuvent freiner la production à grande échelle. Enfin, la certification des pièces produites par ce moyen est primordiale, ce qui peut compliquer leur introduction rapide sur le marché.
Pour des informations complémentaires sur la manière dont cette technologie s’intègre dans l’innovation énergétique actuelle, consultez des ressources telles que cette étude.
La compétition internationale ne s’estompe pas pour autant : découvrez comment la France se mesure aux États-Unis dans des défis technologiques en lisant cet article sur la course aux armes hypersoniques.
Découvrez également comment d’autres entreprises émergentes du secteur parient sur des innovations, comme Thorizon, pour réinventer les mini-réacteurs.
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Comparatif de l’Innovation Nucléaire avec Fabrication Additive
Aspect | Détails |
---|---|
Technologie Utilisée | Fabrication Additive |
Type de Réacteur | Mini-réacteur basée sur les sels fondus |
Objectif | Transformation des déchets nucléaires en énergie |
Partenariat | Framatome & Université Technique de Munich |
Localisation | Projet en Pays de la Loire |
Production | 40 MW par microréacteur |
Effet Environnemental | Économie circulaire durable |
Date Clé | France 2030 |
Application | Electricité, chaleur et/ou hydrogène |
Répercussion Internationale | Exportation vers Canberra |
Un chef de file du secteur nucléaire en France a pris des mesures audacieuses pour transformer la technologie nucléaire avec l’intégration d’un processus de fabrication additive. Ce procédé révolutionnaire, basé sur l’ajout de matière métallique couche par couche, a le potentiel de redéfinir la manière dont nous envisageons la production d’énergie. En se concentrant sur l’innovation continue, le secteur nucléaire français se positionne en avant-garde d’une nouvelle ère énergétique.
Un Leader du Secteur Nucléaire Français
Le paysage du nucléaire est en constante évolution, et la France, réputée pour sa compétence dans ce domaine, demeure un acteur clé. Un des leaders influents de cette filière, à savoir Framatome, en collaboration avec l’Université Technique de Munich, a récemment inauguré l’industrialisation du premier combustible nucléaire monolithique à haute densité d’uranium-molybdène en Europe. Cette avancée illustre la capacité de la France à maintenir une position de première ligne à l’échelle mondiale.
Révolution Technologique grâce à la Fabrication Additive
La fabrication additive, un processus innovant qui permet de donner naissance à des pièces par l’ajout successif de couches de matériau, se distingue comme un outil stratégique pour le nucléaire français. Des experts comme Cédric Pokor, de l’Unité Technique Opérationnelle de la Direction de la Production Nucléaire, soulignent son importance pour la création de composants complexifiés et la réduction des contraintes logistiques. Grâce à ce procédé, les nouvelles technologies comme le réacteur XAMR bénéficient d’une optimisation en termes de ressources, amélioration de l’efficacité énergétique et réduction des coûts.
La Symbiose entre Innovation et Durabilité
La collaboration entre des entités comme Naarea et Phoenix Manufacture souligne le potentiel de la fabrication innovante dans la promotion d’un développement durable. En mettant l’accent sur les micro-réacteurs XAMR, utilisant des sels fondus, cette approche favorise une économie circulaire. Le processus utilise les déchets nucléaires pour produire de l’énergie, réduisant ainsi l’empreinte écologique. Le projet témoigne de la capacité des acteurs du secteur nucléaire à introduire des innovations de rupture tout en répondant aux besoins croissants en énergie propre.
Impact et Perspectives
L’intégration de la fabrication additive s’accompagne de multiples bénéfices potentiels pour le secteur nucléaire français, notamment l’amélioration de la compétitivité internationale et l’optimisation des coûts de production. Grâce à ces initiatives, la France continue d’affirmer son rôle de leader, en créant une synergie entre innovation et efficacité environnementale. Pour en savoir plus sur le développement de la recherche en médecine nucléaire dans la région Pays de la Loire, vous pouvez consulter cet article.
La France, connue pour sa suprématie dans le domaine nucléaire, innove à nouveau en introduisant un processus de fabrication additive. Ce procédé innovant transforme la manière dont les pièces nucléaires sont produites, renforçant la sécurité et l’efficacité des réacteurs. Avec des collaborations stratégiques, les leaders industriels renforcent la position du pays dans le secteur énergétique mondial.
Redéfinir la production nucléaire avec la fabrication additive
Au cœur de cette révolution se trouve la fabrication additive, une technologie de pointe permettant de construire des pièces couche par couche. Cela offre une plus grande précision et une flexibilité accrue dans la conception. EDF, en collaboration avec son Unité Technique Opérationnelle, intègre cette technologie dans ses différents centres nucléaires de production d’électricité, optimisant ainsi l’efficacité et réduisant les coûts de production.
Partenariats innovants pour un avenir durable
Le secteur nucléaire français se distingue par ses partenariats stratégiques. Ainsi, Naarea, en collaboration avec Phoenix Manufacture, utilise la fabrication additive pour développer des micro-réacteurs basés sur les sels fondus. Ces réacteurs promettent de transformer l’énergie nucléaire et d’encourager une économie circulaire en convertissant les déchets nucléaires en énergie. Un progrès notoire pour l’industrie nucléaire française engagée dans une démarche durable.
De nouvelles frontières pour l’énergie nucléaire
Framatome, en étroite collaboration avec l’Université Technique de Munich, propulse la recherche nucléaire dans une nouvelle ère. Ensemble, ils ont franchi une étape majeure avec l’industrialisation du premier combustible nucléaire monolithique à haute densité d’uranium-molybdène (U-Mo) en Europe. Cet avancée renforce la sécurité et l’efficience énergétique des réacteurs, tout en positionnant la France comme leader sur la scène mondiale.
La France en tête de l’innovation nucléaire
Parallèlement à ces innovations, la startup franco-néerlandaise Thorizon, parie sur un mini-réacteur unique doté de cartouches à sels fondus. Ce micro-réacteur représente l’avenir de l’énergie nucléaire : sûr, efficace et durable. L’engagement du secteur nucléaire français à explorer de nouvelles technologies et procédés illustre sa capacité à repousser les limites de l’innovation dans la quête d’un avenir énergétique plus propre et plus sûr.
- Technologie Innovante : Adoption de la fabrication additive pour des réacteurs nucléaires.
- Applications : Utilisation dans les microréacteurs XAMR et la production durable.
- Collaborations : Partenariat avec Phoenix Manufacture pour développer cette technologie.
- Avantages : Transformation de déchets nucléaires en énergie propre.
- Innovation : Réacteurs à sels fondus de nouvelle génération.
- Support R&D : Contribution à la R&D nucléaire française.
Révolution dans le secteur nucléaire français avec la fabrication additive
Un pionnier du secteur nucléaire en France apporte une innovation radicale à la technologie nucléaire grâce à un processus de fabrication additive innovant. Cette méthode, impliquant la collaboration entre Naarea et Phoenix Manufacture, promet un changement significatif dans la manière dont l’énergie nucléaire est produite et utilisée. Le développement de microréacteurs modernes à base de sel fondu et d’autres technologies avancées souligne l’avant-garde de la France dans ce domaine crucial.
La technologie de la fabrication additive au service du nucléaire
La fabrication additive, aussi connue sous le nom d’impression 3D, se révèle être un levier précieux pour la production nucléaire. Ce procédé consiste à créer des objets couche par couche à partir de fichiers numériques, permettant ainsi de fabriquer des pièces complexes avec une grande précision et moins de matériel gaspillé. Dans le cadre de l’énergie nucléaire, cette technique est utilisée non seulement pour créer les composants des réacteurs mais aussi pour optimiser leur design et leur efficacité.
Les microréacteurs : une solution innovante et durable
Les microréacteurs, développés en partie grâce aux avancées en fabrication additive, représentent une avancée majeure pour le secteur. Ces réacteurs compacts, d’une capacité de production de 40 MW, fonctionnent à l’aide de sels fondus et offrent une solution viable pour transformer les déchets nucléaires en énergie utile. Grâce à une conception innovante et à des matériaux avancés, ils favorisent une économie circulaire durable, s’inscrivant parfaitement dans une politique énergétique plus propre.
Avantages des réacteurs à sels fondus
Les réacteurs à sels fondus, intégrant des innovations de la fabrication additive, présentent de nombreux avantages. Leur conception permet une meilleure résistance à la corrosion et une sécurité accrue, rendant ainsi l’énergie nucléaire non seulement plus sûre mais également plus efficace. Cette technologie innovante permet également de refermer le cycle du combustible, réduisant ainsi les déchets nucléaires à long terme.
Une collaboration fructueuse pour le progrès nucléaire
La collaboration entre Naarea et Phoenix Manufacture pour la fabrication des composants de microréacteurs a permis de concrétiser des idées novatrices dans le domaine nucléaire. Leur partenariat met l’accent sur une stratégie intégrée alliant expertise technologique et développement durable. Ensemble, ils démontrent comment l’industrie nucléaire française peut s’adapter et évoluer grâce à des innovations technologiques.
Le rôle de la France en tant que leader nucléaire mondial
Avec ces innovations, la France se positionne comme un acteur clé dans la révolution énergétique mondiale. Non seulement ces avancées renforcent la compétitivité de l’industrie nucléaire française, mais elles soulignent également l’engagement du pays en faveur de solutions énergétiques avancées et respectueuses de l’environnement. Les nouvelles perspectives offertes par ces technologies promettent de redéfinir le rôle de l’énergie nucléaire dans le futur énergétique global.
Révolutionner le Nucléaire grâce à la Fabrication Additive
Je travaille dans le secteur nucléaire depuis plus d’une décennie, et ce que Framatome réalise actuellement est tout simplement révolutionnaire. L’intégration de la fabrication additive à notre processus de production a transformé notre approche. Non seulement nous parvenons à produire des composants plus complexes, mais nous le faisons avec une efficacité et une précision jamais atteintes auparavant.
En tant qu’ingénieure spécialisée, je suis impressionnée par la collaboration entre Framatome et l’Université Technique de Munich. Le développement de ce combustible nucléaire monolithique à haute densité d’uranium-molybdène est une véritable avancée dans notre recherche. Cela ouvre une multitude de possibilités en matière de production d’électricité durable et sûre. Enfin, nous pouvons envisager un avenir où l’énergie nucléaire est non seulement efficace mais aussi écologiquement responsable.
Depuis l’arrivée du projet XAMR, notre communauté technique est en effervescence. Avec Naarea et Phoenix Manufacture en première ligne, nous avons une chance unique de transformer des déchets nucléaires en énergie. C’est un beau message d’espoir pour notre planète, mais également une preuve de la capacité d’innovation de notre industrie. Excitant de faire partie de cette transformation vers une économie circulaire durable!
L’importance de la compression isostatique à chaud dans notre cadre de travail ne peut être sous-estimée. Elle nous permet de produire des pièces avec moins de matériau tout en conservant leur résistance. Cela réduit non seulement les coûts de production, mais optimise également l’empreinte écologique de nos opérations. Je n’aurais jamais cru que le nucléaire pourrait inspirer de telles innovations, mais aujourd’hui, je suis convaincu que nous avons encore beaucoup à découvrir et à créer.
FAQ sur l’Innovation Nucléaire : Fabrication Additive
Q : Qu’est-ce que la fabrication additive et comment est-elle utilisée dans le secteur nucléaire ?
R : La fabrication additive est un procédé de fabrication qui ajoute de la matière couche par couche à partir d’un fichier numérique. Dans le secteur nucléaire, elle est utilisée pour créer des pièces complexes, réduisant ainsi le besoin de matériaux et optimisant la production. C’est un atout pour développer de nouvelles technologies de réacteurs nucléaires.
Q : Quels sont les avantages de l’utilisation de la fabrication additive dans la production nucléaire ?
R : Les avantages incluent une plus grande flexibilité dans la conception, une réduction des déchets de matériaux et la capacité de fabriquer des pièces qui seraient impossibles à créer avec des méthodes traditionnelles. Cela permet également de faciliter l’introduction d’innovations de rupture.
Q : Quels sont les principaux acteurs impliqués dans ces innovations en France ?
R : Des entreprises comme Framatome et des start-ups comme Naarea et Thorizon sont à l’avant-garde de ces innovations. Elles collaborent avec des institutions académiques pour développer des réacteurs nucléaires plus petits et plus efficaces.
Q : Comment la fabrication additive contribue-t-elle à la durabilité environnementale ?
R : Grâce à des procédés comme la compression isostatique à chaud, la fabrication additive réduit l’empreinte carbone en diminuant la consommation de matériaux et en recyclant les déchets nucléaires pour les transformer en énergie productive.
Q : Quels sont les réacteurs nucléaires innovants mentionnés dans le développement futur du nucléaire ?
R : Des projets comme le micro-réacteur XAMR et les réacteurs basés sur les sels fondus représentent l’avenir du nucléaire. Ces technologies visent à améliorer l’efficacité et la sécurité tout en abordant les enjeux écologiques.
Innovations en Fabrication Additive : L’Avenir du Nucléaire
La fabrication additive, souvent désignée comme impression 3D, s’impose comme une révolution dans le domaine du nucléaire. Ce procédé permet la création de pièces complexes par ajout de matière couche par couche, offrant ainsi une flexibilité et une précision inégalées. Au cœur de cette transformation, un leader français du secteur se distingue par l’adoption et l’industrialisation de ces techniques. Ce pionnier, en collaboration avec des partenaires internationaux comme l’Université Technique de Munich, a marqué un jalon crucial avec le développement de combustible nucléaire monolithique d’uranium-molybdène.
À travers l’association avec Phoenix Manufacture, le spécialiste français amplifie l’impact des micro-réacteurs XAMR de 40 MW. Ces réacteurs, basés sur une technologie de sels fondus, promettent non seulement une production d’énergie innovante, mais aussi la transformation des déchets nucléaires, appuyant ainsi une économie circulaire durable. Ce projet est un jalon dans la promotion des réacteurs sûrs et efficaces, en phase avec les exigences environnementales actuelles.
Le recours à des techniques comme la compression isostatique à chaud et d’autres procédés de fabrication additive permet de réaliser des pièces robustes et particulièrement résistantes, essentielles pour l’amélioration des performances des installations nucléaires. Cédric Pokor, expert en fabrication additive, joue un rôle déterminant en intégrant ces avancées dans le parc nucléaire existant, optimisant ainsi la sécurité et l’efficacité des opérations.
En adoptant ces nouvelles technologies, l’industrie nucléaire française se positionne à l’avant-garde des innovations R&D. Les implications de cette transition sont vastes, comprenant la production accrue d’électricité, de chaleur et d’hydrogène. Ce dynamisme technologique contribue non seulement à renforcer la compétitivité de la filière française, mais également à répondre aux défis énergétiques mondiaux. La collaboration internationale et l’engagement dans l’innovation positionnent la France comme un acteur essentiel du renouveau nucléaire. En somme, la fabrication additive constitue un atout majeur, redéfinissant les contours d’une industrie en pleine mutation.